Marie-Ève Thibault : professionnelle de recherche du mois

Monday 25 November 2019 |

Unité de recherche clinique et épidémiologique, CRCHUS



Assistante technique de recherche au sein de l’Unité de recherche clinique et épidémiologique (URCE) du CRCHUS, Marie-Ève Thibault a pour mandat de soutenir le fonctionnement administratif de la plateforme de l’URCE et du Comité patient-partenaire du CRCHUS, en plus d’accompagner les chercheurs et leurs équipes au niveau des aspects cléricaux de leurs projets. En fonction des besoins des chercheurs et des équipes de recherche, son quotidien est plutôt diversifié. Ceci est un aspect de son travail qu’elle apprécie grandement et qui fait en sorte que les journées se ressemblent peu.

Deux domaines qui s’unissent pour ne faire qu’un

Bien que sa formation et son champ d’expertise ne soient pas en lien avec la science, Marie-Ève joue un rôle important dans la réalisation de projets de recherche d’envergure. La diplômée en bureautique et comptabilité apporte notamment son grain de sel pour simplifier le déroulement de ceux-ci. Des aspects cléricaux à la soumission d’articles scientifiques, elle touche à tout ce qui relève du domaine administratif : une discipline fortement présente dans la recherche, qui peut être perçue comme un fardeau pour les chercheurs et leur équipe, mais pour laquelle Marie-Ève agit à titre de facilitatrice.
« Celle-ci est en quelque sorte l’un des piliers fondamentaux de l’URCE en plus d’être le point d’ancrage du Comité patient-partenaire. Elle est animée par un professionnalisme de haut niveau et par une rigueur inébranlable. Sans elle, les réalisations ne seraient pas aussi nombreuses », nous confie Marie-Claude Battista, responsable scientifique de l’URCE.

Un travail impeccable qui mène à une satisfaction personnelle

Sans l’ombre d’un doute, le travail accompli par Marie-Ève est grandement apprécié par plus d’un. Un travail constamment bien réalisé qui découle de son intérêt envers celui-ci.
« J’aime sentir que je peux faire une différence, à ma façon, dans des projets qui pourraient potentiellement avoir un impact sur la santé ou la qualité de vie des patients », nous explique-t-elle.
Les patients font d’ailleurs partie intégrante de son rôle, puisqu’elle est amenée à collaborer avec les patients-partenaires, qui apportent une contribution qu’elle qualifie de « grande richesse ». Celle-ci trouve entre autres cet aspect de son travail très stimulant, de même que d’avoir la chance d’apprendre tous les jours en étant en contact avec des collègues et patrons ayant des connaissances et expertises hors de son domaine.

Lire aussi

  • Virginie Gosselin : professionnelle de recherche du mois
  • Elsie Morneau : professionnelle de recherche du mois


Share